
Le repli du volume des transactions constaté est pourtant compensé par les accroissements des ventes de 4,6 % l’année précédente l’élection et 2,3 % l’année suivante. Habituellement, la décision des acheteurs se prend en fonction des programmes des candidats en matière d’incitation à savoir le prêt à taux zéro, la loi Pinel, etc. Les ventes pourraient aussi s’accélérer grâce à la révision de la taxation des plus-values.
Cependant, les échéances électorales ne semblent pas affecter pour autant l’immobilier de bureaux en Ile-de-France. Même avec la volatilité de l’activité de l’État pendant les périodes électorales, l’activité dans le secteur de l’immobilier est surtout déterminée par le prix, l’offre et la capacité du marché à satisfaire la demande en matière de logement. Quoi qu’il en soit, la France continue à attirer beaucoup d’investisseurs étrangers selon les remarques du courtier de crédit immobilier.